ࡱ>    !"#$%&'()*+,-./0123456789:;<=>?@ABCDEFGHIJKLMNOPQRSTUVWXYZ[\]^_`abcdefghijklmnopRoot EntryZ O20 [oqCONTENTS CompObjVSPELLINGT les magasins PERRETTE, spcialise dans les produits du lait et du pain - qui n allaient pas vers les gens mais qui offraient ces produits prix rduits. Ce que les consommateurs apprciaient ! J tais alors avocat de l Association des laitiers et ceux-ci voulaient que je demande une injonction la Cour - pour empcher, ce qu ils appelaient une concurrence dloyale ! Le dnomm BAZOS, propritaire des magasins PERRETTE avait innov et chang ce que devait tre le mtiers de laitiers ou de boulanger ! Des changements, il y en a toujours eus. Ce qui est nouveau, c est la spectaculaire acclration de cette mondialisation. Si rapide, qu elle ne laisse pas gure de temps l adaptation! C est pourquoi les grands observateurs de la socit appellent cette nouvelle priode de l histoire de l histoire, une vritable rvolution, un basculement du monde ou une bifurcation du monde, sous l effet de l volution des sciences thoriques et des technologies de production et de communication. Des changements majeurs qui ont des effets non seulement dans le monde de la finance ou dans le monde des affaires, ( ceux que j ai personnellement vcus ) mais aussi ont des effets sur les gouvernements, les institutions, les organisations, les entreprises, les syndicats, les groupes sociaux, et aussi sur les populations et les individus. Et, ce qui est encore plus significatif, mon avis, sur les valeurs individuelles et collectives. Autrement dit, une acclration de la mondialisation si forte qu on peut la comparer une tornade - et en certains cas, un tsunami - puisqu il y a des secteurs entiers d activits, jusqu rcemment pourtant reconnus, qui risquent de disparatre. lu prsident du Mouvement des caisses Desjardins en 1987, cette acclration de la mondialisatiCHNKWKS TEXTTEXTFDPPFDPPFDPPFDPPFDPCFDPCFDPCFDPCFDPCFDPCSTSHSTSH(STSHSTSH(SYIDSYIDSGP SGP İINK INK ȰBTEPPLC ̰ BTECPLC (FONTFONTlTOKNPLC 4FTN FTN ȱ>FTN FTN >STRSPLC HHPRNTWNPR$ers et ceux-# Coopratives forestires. C est devenu un clich que de parler de changement. On en parle depuis plus de vingt ans. Dsormais, nous dit-on, la seule chose permanente sera le changement, consquence de l acclration de la mondialisation. Je dis acclration de la mondialisation puisque la longue histoire de l humanit est faite de changement, c est vident. Il y a toujours eu du changement dans les faons de vivre et les faons de satisfaire les besoins humains. Longue aussi est l histoire de la mondialisation.#De tous temps, aussi, les peuples ont cherch explorer la plante pour y trouver de nouvelles richesses. Les dcouvreurs du Canada sont venus ici au nom de leur Roi pour y trouver des fourrures, du bois et tout ce que ce nouveau continent pouvait leur offrir ! Ce n est donc pas nouveau. Mais, l poque, cette mondialisation progressait au rythme de l volution des moyens de communication d un pays l autre ou d un continent l autre. Il fallait y mettre du temps ! Des changements qui ont oblig les gens s adapter, surtout dans le domaine de l industrie ou du commerce : pendant longtemps, on chauffait au bois, ensuite au charbon, puis l huile, l lectricit, au gaz et depuis peu sont apparus les thermo-pompes, la go-thermie, etc.. chaque fois, ceux qui vivent de l industrie du chauffage ont d s adapter ! Et c est ainsi dans la plupart des secteurs d activits... Personnellement, je me souviens qu au dbut des annes 60, Montral, le mtier de laitier et de boulanger comptait de nombreux emplois. Nombreux taient nombreux ceux qui gagnaient leur vie comme laitier ou comme distributeur de pain : ils avaient leurs routes et leurs abonns qui ils livraient le lait et le pain quotidien. Un jour, venant de Toronto, s est installon, j ai eu la vivre personnellement avec mes collaborateurs et ce, ds le dbut de mon premier mandat. Et malgr nos propres rsistances ( comme coopratives, nous nous croyions protgs) nous avons t contraints, non seulement adapter ce que nous avions imagin dans un premier temps - mais transformer le rseau des caisses pour assurer sa prennit. Pas parce que nous le voulions ncessairement, mais parce que les membres des caisses les achetaient ces changements! Chez Desjardins, la rsistance au changement s exprimait ainsi : On existe depuis presque cent ans et a toujours march. Pourquoi changer ? Ce qui fait que nous nous sommes rendus compte rapidement que grer, sans tenir compte du changement, s tait grer contre-courant du tsunami ou de la tornade... et c tait prendre de grands risques. ****** En fait, la plupart des pays dans le monde se sont engags dans cette acclration de la mondialisation parce que ce rapetissement de la plante, ce rapprochement des peuples, et surtout des marchs, laissaient entrevoir l mergence d un monde meilleur pour tous. Les promoteurs de l acclration de la mondialisation prvoyaient de nombreux bienfaits pour l humanit : - grce la permabilit des frontires, la libre circulation des personnes ce qui devait tre propice une plus grande fraternit humaines, ce qui tait de nature radiquer les guerres et favoriser un meilleur partage des capitaux, des biens et des services et une baisse des prix grce une multiplication de la concurrence. Or, ce jour, nous vivons plutt le contraire ! La permabilit des frontires, si elle favorise les dplacements des personnes et des marchandises sur la plante, a aussi fait dcouvrir de nouveaux dfis et une nouvelle forme de guerre, celle du terrorisme. Consquence ? De plus en plus de frontires se referment. Mme pour les Canadiens, pour la premire fois de notre histoire, il faudra un passeport pour entrer aux tats-Unis. radiquer les guerres ? Les armes sont de plus en plus accessibles, les guerres de plus en plus meurtrires. Les guerres ne sont plus des affrontements entre des populations. Des guerres au dtriment des populations. Sur le plan conomique, on prvoyait une meilleure rpartition des biens et services - et mme une baisse des prix ? Oui, les exportations sont en hausse. Les importations aussi. Mais cette nouvelle distribution des produits et services n est pas le rsultat d une multiplication de la concurrence, mais plutt celui d une tendance vers la cration de quasi-monopole. Pourtant, le no-libralisme et le capitalisme qui accompagnent les entreprises du libralisme sont essentiellement fondes sur la concurrence : selon Adam Smith, c est la concurrence qui est la main invisible qui permet de tirer le maximum des marchs et de rgulariser les prix. Ce qui fait dire un grand conomiste amricain, Immanuel Wallerstein, que le capitalisme risque de mourir de ses propres russites - ou de ses excs - car pour russir, dsormais, il cherche moins crer de la concurrence qu crer des monopoles. (Acier, Automobile, mdias, - mga-fusions.) - On disait aussi que grce l acclration des technologies de production, il en rsulterait une plus grande richesse pour tous. - la ralit est diffrente. Il est vrai que, sous l effet de l acclration de la mondialisation, la plupart des pays industrialiss ont russi une certaine augmentation de la richesse. Mais, paradoxalement, une augmentation de la pauvret. (Rfrence : The Economist : une plus grande richesse partout, mais pour qui ? ) Oui, il est vrai que globalement nous comptons dsormais davantage de pays riches ( Les Indes, la Chine.) Mais dans la plupart des pays, l cart entre les riches et les pauvres ne cesse de s largir. - On disait aussi que grce l internationalisation de la finance, on russirait une meilleure allocation des capitaux pour tous - en particulier pour les pays en mergence. Or, nous constatons que ce sont plutt les pays riches qui en profitent. Et cette internationalisation de la finance devient mme un risque pour la dmocratie. ( Exemples : Bill Clinton, la Sude, le Sommet au Qubec de 1996.) (Aussi, exemple de Desjardins et les rgles dcides Ble, en Suisse.) - Et finalement, on prvoyait l tablissement de la dmocratie afin que partout dans le monde les minorits cessent de dominer la majorit. Or, il faut bien l admettre, des minorits, un peu partout dans le monde, dominent encore des majorits. Aux tats gnraux sur la rforme des institutions dmocratiques, la dfinition d Abraham Lincoln de la dmocratie : un gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple - en faisaient sourire plusieurs ! ****** Des visions non ralises En consquence, au fil de l coulement du temps, et ce depuis quelques annes, les populations, un peu partout dans le monde, font le constat que l acclration de la mondialisation n est pas la hauteur de ce qu elle promettait qu elle promettait par sa publicit et sa promotion.# Ils font le constat que l acclration de la mondialisation n est pas la seule rponse au dveloppement local, rgional, national - alors que c est pourtant l que les gens vivent. (On ne vit pas d abord sur la plante...) ****** Ce qui fait penser qu il faut de nouveaux changements. Or, un des synonymes du mot changement, c est le mot innover. Et le seul synonyme du mot innovation - c est le mot changement ! Face cette volution de l acclration de la mondialisation, il INNOVER - il faut s armer de l innovation. Robert Reich, conseiller en son temps du prsident Clinton aux tats-Unis, professeur une des universits d Harvard, aux tats-Unis, disait dj l poque que les industries et les entreprises seraient dans l avenir composes de solutions finders - des trouveurs de solutions. De trouveurs d innovation. Et que les industries et les entreprises qui russiraient prendre leur place dans ce monde globalis serait celles qui, en unissant les intelligences, les ides, les expertises de tous ceux et toutes celles qui oeuvrent dans cette industrie ou dans ces entreprises, ne cesseraient d innover ! C est vrai pour toutes les catgories d entreprises : petites, moyennes et grandes. proprit ferme ou proprit ouverte; capitaliste, entreprise d tat, ou entreprise cooprative. Mais chose certaine, puisque la cooprative mise sur des partages de dmocratie, de solidarit, de mise en commun, il est certain que, sur le plan, si on sait profiter des forces de la coopration, les coopratives ont un avantage certain. Ne dit-on pas que la force des coopratives, c est d tre intelligents plusieurs ? L exprience le dmontre, la force des coopratives, c est l union des intelligences, des expriences, des expertises. Et non seulement, l exprience et l expertise de consultants externes, ou des hauts gestionnaires de l entreprise, mais de tous ceux qui font que l entreprise fonctionne. Oui, aujourd hui plus que jamais, il faut unir les intelligences et les expriences. Il faut innover mme sur ce plan. C est ce que disais d ailleurs un expert franais en innovation qui se plaignait du fait que Rares taient les entreprises qui faisaient appel aux ides de tous leurs collaborateurs - tous les niveaux de l organigramme de l entreprise. Personnellement, je me suis inspir de ces lectures, dans les annes 90, alors que nous vivions un dfi important devant les menaces de l internationalisation de la finance, du dcloisonnement, de la dsintermdiation, de l apparition de nouvelles concurrences sous forme d institutions financires non rglements. Il s agissait de convaincre les caisses de faire des changements dans leurs faons d oprer ! Or, convaincre un rseau de plus de 1,000 caisses - autonomes - exigeait qu on innove ! Une premire stratgie fut propose par les gestionnaires de la Confdration: la Confdration prparerait le modle de la caisse de demain et la prsenterait ensuite aux caisses l occasion d un Congrs ou d une assemble gnrale annuelle avec recommandation de l implanter dans toutes les caisses. Cette stratgie a rapidement t rejete: de toute vidence, une telle stratgie aurait provoqu une rsistance si forte qu on aurait demand la dmission du prsident ! Certains ont alors propos de proposer le modle une des fdrations - pas parmi les plus grandes, mais parmi les moyennes, l o les dirigeants seraient plus conciliants et possiblement plus ouverts aux changements. Encore l, la stratgie est apparue risque. Nous avons plutt choisi la stratgie suivante. Nous avons divis les processus d affaires en quatre grands blocs: 1) L accueil ou l adhsion la Caisse. 2) pargne placements et offre de services; 3) Financement aux particuliers 4) Oprations en mode assist Et nous avons choisi quatre caisses-pilotes, chacune d elle assumant un des processus. ces caisses, nous avons confi la responsabilit d amliorer ces processus en tenant compte de l environnement nouveau dans lequel les caisses taient appeles vivre. Ce sont les employs de ces caisses, qui, avec le directeur de la caisse, devaient trouver des solutions en vue de simplifier les procds au bnfice du membre, afin de rduire les cots d opration, et afin de maximiser ces quatre fonctions essentielles dans la caisse. Ou encore pour suggrer de nouveaux produits, de nouvelles alliances, de nouvelles fusions... Le directeur de la caisse choisie ainsi que les employs taient honors qu on les dsigne comme laboratoire d une modernisation des procds et ont accept avec enthousiasme ce rle important. Pour minimiser les inquitudes, nous les avons assurs du support des experts de la Confdration en particulier relativement aux prrequis technologiques. Les caisses-pilotes ont fait un travail formidable et des recommandations trs colles la modernit. Aprs quelques mois, ces procds taient suffisamment efficaces pour les proposer des caisses-vitrines  les ouvrir aux membres et la connaissance des autres caisses. Effets positifs. Les caisses embarquent ! J ai tir plusieurs constats de cette premire grande dmarche en vue du changement chez Desjardins. (Ce me fut prcieux pour les autres grandes tapes qu il a fallu traverser: celle de la nouvelle gouvernance de Desjardins. Je retiens que ce sont ceux qui font fonctionner une industrie qui la connaisse le mieux. Aujourd hui, je vis une exprience semblable dans le domaine des services de sant. (Expliquez) Oui, cette mise en commun des ides est possible dans toutes formes d entreprise, bien sr. Mais, il faut bien l admettre, c est la cooprative, la cooprative bien comprise, qui est en soi, par dfinition, un systme de gestion des ides - un ensemble de pratiques qui permettent de faire merger et de raliser les ides provenant des membres, des gestionnaires, des employs, des fournisseurs, des clients, etc. Les tudes sur la crativit dmontrent que les ides les plus productives viennent souvent de ceux qui sont sur le terrain... Pourquoi ce ne serait pas aussi ceux qui sont dans le bois ? Il est vrai aussi qu on ne peut pas innover sans leadership. Encore l, selon mon exprience et de l avis de plusieurs experts, le leadership le plus efficace est un partag et collectif. De nos jours, in ne peut miser sur un seul cerveau. Or, encore l, ce sont les coopratives qui permettent ce leadership partag et collectif. D abord, parce qu une cooprative, ce n est pas qu une forme d entreprise - une manire diffrente de faire des affaires. La cooprative, ce n est pas qu une forme d entreprise pour ceux qui ne peuvent faire autrement et qui n auraient pas la capacit de faire des affaires comme tout le monde... Non, la cooprative, c est d abord un projet de socit - une contribution la mise en place d une socit dmocratique o sont reconnues les valeurs de libert, certes, soit la libert d adhrer ou non ce genre de socit - mais aussi les valeurs d galit, de solidarit, favorisant l galit des droits et l galit des chances. Autrement dit, les cooprateurs sont des sociaux-dmocrates. Des gens qui croient que nous vivons d abord et avant tout, non pas dans des conomies, mais dans des socits. Et que le dveloppement durable - celui qui permet au plus grand nombre de gens de vivre en toute dignit, se fait d abord la base , l o les gens vivent. La socit ne se btit par en haut - elle ne se construit pas par la volont des autres - par des gens d ailleurs qui dcident pour nous. Que la socit, l ou on vit, se construit par les gens qui y vivent et qui s y engagent, non seulement comme consommateur, comme contribuable, comme bnficiaire (des mots que j aime de moins en moins...) mais qui s y engagent comme citoyen ou citoyenne, avec et pour les autres, afin de construire le milieu de vie qui leur convient et qui permet tous et toutes de vivre pleinement. Aujourd hui, un peu partout dans le monde, on constate que l espoir est justement dans la prise en charge par la socit civile - par les populations elles-mmes de leur devenir par des organisations o ces valeurs sociales fondamentales sont reconnues et pratiques. Ce sont les populations - les hommes et les femmes -qui peuvent exercer ce leadership, uni dans une mme vision d une socit o chacun et chacune ont une place et un rle y jouer. Les grands observateurs le disent : Jean Ziegler : O est l espoir ? Dans la nouvelle socit civile plantaire... John Saul : dans son livre sur La mort de la globalisation, crit : Il y a trente ans, la globalisation surgissait... et ses aptres proclamaient que pour leur plus grand bonheur, toutes les socits seraient dsormais organises autour d un seul lment : l conomie. Ils nous demandaient de les croire : nous les avons cru... Or, tout montre aujourd hui, que cette idologie est entrain de mourir. Des pays la drive ont quitt le navire global tandis que pointent les ides et les expriences qui prparent la socit de demain. Ce n est pas une recette nouvelle : c est une rgle fondamentale : Dj, au temps de l Antiquit, Platon le disait : La vie collective n est possible dans la dure que si chacun s en considre responsable. Les dfis sont tels aujourd hui qu il n est plus possible d esprer que les lus rglent tout. Il faut que dsormais le secteur politique, le secteur conomique, la socit civile, agissent de faon responsable face aux dfis actuels, chacun y apportant sa contribution. Il faut refaire une certaine fiert de notre coin de pays de faon s en rendre responsable. Le Qubec s ennuie du Qubec Inc., cette priode de grande solidarit des gens d affaires du Qubec pour le construire. Une solidarit entre les divers intervenants pour faire en sorte que nous en sortions collectivement gagnants ( pas individuellement, mais collectivement d abord), tous proccups par les dfis du temps. Certes les dfis sont grands : mais c est ensemble que nous pouvons les rgler. Exemples : contrle de l conomie qubcoise - relve et dcrochage scolaire, etc. Oui, il faut innover dans notre faon de voir les choses : remettre l ordre du jour,: Innover dans la solidarit - cette valeur qui nous dit qu on est plus fort ensemble et qu on est plus intelligence plusieurs; investir dans cette valeur qui a fait ce que nous sommes aujourd hui. Innover dans le leadership : cette confiance en nous qui inspire la confiance de ceux qui nous entourent par notre capacit partager le leadership et le rendre contagieux. Innover dans la fiert - en se rappelant qu en tous temps, nos anctres - qui taient d une race fire - ont russi des dfis la hauteur de leurs temps - et qu ils nous ont trac la voie d une socit o il fait bon vivre - mais, qui comme toute socit dans un monde en volution, est toujours construire ! Innover en remettant l ordre du jour ce beau projet de construire une socit- modle o chacun et chacune auraient une place et un rle y jouer afin d y vivre la tte haute, en toute dignit. Ce que je souhaite de tout coeur. Je vous souhaite plein succs ! Cette fois, cause du rapetissement de la plante sous l effet de l volution des technologies, les innovations sont plus nombreuses et plus froce. Oui, une vritable tornade - et quand la tornade passe, de toute vidence, il ne suffit pas d attendre qu elle passe - car on risque de se trouver dans un paysage qui a beaucoup chang... S il faut l intelligence motionnelle et du plus grand nombre - il faut donc que les forts soient grs par ceux et celles qui sont les plus proches de cette indutrie - ceux qui en sont les propritaires ou les exploitants. http://fr.wikipedia.org/wiki/Innovation # Grard Vindt - 500 ans de capitalisme. Page 12 : Les tendances lourdes de la mondialisation. # Collectif, Alternatives la globalisation conomique, ditions cosocit, page 44. fis sont grands : mais c est ensemble que nous pouvons les rgler. Exemples : contrle de l conomie qubcoise - relve et dcrochage scolaire, etc. Oui, il faut innover dans notre faon de voir les choses : remettre l ordre du jour,: InnovI:<  X|J@!""$$'(*-D/P4R467;0=?@~A(CLCCCGG"IJNRUW[[|_axbb"cbcccNdPdhHkJklmoBpquwz V(ތ$"4"5% ",4"5% 4"5%4"5%7ތ̍^@rTVXZ\^`bdjlrtvxz|~HJL`(2"'( ) @S  4"5%$ " "|"4"5%4"5%6&|<jHX !N""'(LCCEE&H*HHHHHb,bbb,bbb,bb,bbbb:  "" $  08< "" $  086  "" $  084 "" $  088 "" $  08 ""  "" ""HIIIJKNU UVW[HkJko q qވ΍bd^^^^**^^^" " : "" $  08."6  "" $  084 "" $  086  "" $  088 "" $  084 "" $  08`bzң  " " " Ep&X " ". 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